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Quinze ans après sa dernière représentation, «Coppélia», un classique de John Auld selon Arthur Saint Léon, Marius Petipa et Enrico Cecchetti, sur une musique de Léo Delibes, reprend la scène.

Ce ballet, où illusion et fantaisie se mêlent à humour, explore la frontière entre le réel et l’illusoire, ainsi que la fascination humaine pour les marionnettes automates, étroitement liée à l’intérêt pour le progrès technologique et scientifique au XIXe siècle. Il s’inspire de l’ œuvre Der Sandmann d’E.T.A. Hoffmann, dont l’histoire se concentre sur la jeune Swanilda et son fiancé Franz.